Séance 1 : Le.a designer comme chercheur·euse
Sommaire
Textes
Qu’est-ce que la recherche en design?, Stéphane Vial
La pluralité de la recherche en design : tentative de clarification et de modélisation de la recherche-action, de la recherche-création et de la recherche-projet, Geneviève Raîche-Savoie (Université Laval, Québec) et Claudia Déméné (Université Laval, Québec)
La recherche en design graphique sous pression, Annick Lantenois
Notes par tout le monde
Stéphane Vial, le projet "Mentallys" exemple de co-design
- Définition du sujet/historique
« Une discipline scientifique porte sur les théories et les méthodes qui s’accumulent grâce à la recherche et la réflexion universitaires » (Gemser et al., 2012, p. 4)
Design methods --> Solutionner des problèmes à l'aide du Design
1950 design de l'école d'Ulm --> Herbert A. Simon (Carnegie Mellon University) publie son grand livre, Les sciences de l’artificiel. Dans cet ouvrage fondateur, Simon défend notamment l’idée que le design est une méthode scientifique de résolution de problèmes (problem solving) et plaide pour le développement d’une « science de la conception » ou « science du design » (science of design) dans les universités.
Une vision très mathématique/physique automatique dans le processus du designer. Mais deux tendances s'opposent à cette vision.
1) Une approche comportementaliste du processus de design
2) Une approche phénoménologique (https://www.cnrtl.fr/definition/ph%C3%A9nom%C3%A9nologique) et existentielle
1973 Rittel et Webber parlent de Wicked Problems --> problèmes malicieux
— ils sont fondamentalement uniques
— ils ne peuvent pas faire l’objet d’une formulation définitive
— ils peuvent être expliqués et résolus de nombreuses manières différentes
— ils n’impliquent pas des solutions de type «!vrai ou faux!» mais de type « meilleur ou pire »
— et ces solutions, qui ne peuvent pas être décrites de manière exhaustive, ont toujours une foule de conséquences qui modifient le problème et exigent de nouvelles solutions.
On cherche plus à remplacer l'expertise du designer par la "science" mais d'en rendre compte scientifiquement.
Le design comme une entité propre, ce n'est pas de l'art mais ce n'est pas de la science non plus.
Design Methods à fait prendre conscience que le design possède une multiplicité de domaine qu'il est difficile de tout réunir en une seule entité.
- Etat de la France dans le domaine de la recherche --> globalement à la traine puis fondation ARD etc.
-Recherche scientifique vs Quête créative
Bien faire la différence entre répondre à une question de design. Se documenter explorer produire un artefact avec un acte de recherche.
--> Nigel Cross (https://en.wikipedia.org/wiki/Nigel_Cross) différence entre travaux/pratiques design et travail de recherche dégager des connaissances fiable à partir du monde naturel ou artificiel et les rendre ré utilisable.
Donc praticiens doivent produire une réflexion sur leurs travaux et en tirer des résultats/réflexions sous une forme ré utilisable.
Méthode heuristique : Méthode de recherche ou de résolution de problèmes basée sur des essais, des intuitions et des expériences, qui vise à trouver rapidement des solutions satisfaisantes sans garantir qu’elles soient optimales.
Certaines écoles ne sont pas de cet avis
Design spéculatif : crée des objets imaginaires qui remettent en question notre réalité actuelle, puis les intègre dans des contextes réels. Dunne et Raby ex atomic Mushroom (avant garde)
La France est restée longtemps indifférente au développement de la recherche internationale en design, contrairement aux pays anglo-saxons
Nigel Cross a proposé de parler du design comme discipline plutôt que design comme science
La quête créative d'un designer n'est pas une recherche scientifique
Structurer le champ de recherche vision de Cross
- Epistémologique du design
- Praxéologie du design
-Forme/materiel/finition artefact
Design methods : 1960 sous l’influence de New Bauhaus créer des classes dans lesquelles ont enseigne le science de design (classe de recherche) dans les universités, Science / modèle, répétition, méthodes universelles, prouvé. Science du design / pas besoin de copier, Pour certain c’est renoncer à une perte d’innoncence, de naivete, le genie creatif n’existe pas tout doit être expliqué (pratique réfléchis)
Spéculatif : Vient du latin speculari (« observer, réfléchir »). Qui repose sur des hypothèses, des conjectures, sans certitude empirique. Une démarche spéculative vise à explorer des possibilités, des idées théoriques, souvent sans vérification expérimentale immédiate
La pluralité de la recherche en design : tentative de clarification et de modélisation de la recherche-action, de la recherche-création et de la recherche-projet, Geneviève Raîche-Savoie (Université Laval, Québec) et Claudia Déméné (Université Laval, Québec)
https://shs.cairn.info/revue-sciences-du-design-2022-2-page-10?lang=fr
notes
Constat : Parce que encadré·es par des personnes venant de disciplines varié·es, les étudiant·es en design (apprenti·es chercheureuses) se retrouvent "tiraillé·es" dans leur choix de méthodologie de recherche.
Objectif de l'article : faciliter l'élaboration du projet de recherche des étudiant·es en définissant, via la création d'un modèle conceptuel, les concepts de recherche-action / recherche-création / recherche-projet
Méthode : analyse critiques d'une 30aine d'articles scientifiques + étude de cas inspirée de la maîtrise en design avec mémoire (MDM) à l’École de design de l’Université Laval + entretiens semi-dirigés d'une durée d'une heure chacun avec des chercheur·euses (au-delà du niveau maîtrise)
recherche scientifique ("recherche sur le design") :
un moyen privilégié de former des designers pouvant mieux appréhender des projets complexes, c'est-à-dire "composés d'éléments qui entretiennent des rapports nombreux, diversifiés, difficiles à saisir par l'esprit, et présentant souvent des aspects différents" (CNRTL, 2025)
Diffère de la documentation (bibliographie, monographie, etc.)
Les critères de scientificité : crédibilité (validité interne), transférabilité (validité externe), fiabilité (concordance des résultats, dépend bcp du contexte) et confirmabilité (objectivité)
Comprend deux types de recherche qui se distinguent "par leur but et par le public visé" :
recherche fondamentale :
(1) objectif = "vise l’élargissement du savoir et amène une production de connaissances pour un public de chercheur∙euse∙s".
(2) Rare en design car "peu pertinente et utile pour la profession et l’enseignement (Findeli, 2004)" et n'est pas saisie par les practicien·nes de la discipline + fait "avancer les connaissances dans d’autres disciplines" --> comment ça ?
recherche appliquée :
(1) objectif = développer un regard critique sur une pratique et se demander si le l'artefact imaginé est le plus adapté pour répondre aux objectifs fixés. "s’inscrit dans la découverte et la solution à un problème pratique immédiat pour aider des professionnel∙le∙s et la société en général (Fortin et al., 2016)".
(2) L'article donne pour exemple une étudiante en design qui souhaitait produire un livre qui permettent aux enfants de mieux vivre avec leur trouble TDA et aux parents de mieux comprendre cette condition, tout en permettant aux deux parties de mieux dialogue. Le projet de recherche questionne la pertinence du livre pour remplir ces objectifs.
(3) Dans la recherche appliquée sont réunies :
recherche-action (R-A)
(1) Ne mène pas à un artefact. "Le terme « artefact » [fait référence] à un ensemble de résultats découlant du processus de design, incluant des produits, services, marques, stratégies, processus et capacités (Henseler, 2020)."
(2) Reçoit une réponse immédiate car elle "aspire à la production de connaissances aptes à modifier, pour le mieux, les pratiques de ces acteur∙rice∙s sociaux·ales", tout en ayant pour but l'apprentissage de ces connaissances par toustes (Guay et al., 2016). "Ne postule pas nécessairement une hypothèse ou une question de recherche clairement définie (Muratovski, 2016)". La R-A tire "[sa] connaissance (la vérité) vient des actions (l’expérience)". Elle vient des sciences humaines et sociales (Guay et al., 2016). Relation de partenariat avec les practicien·nes et les utilisateur·ices qui deviennent des cochercheur·euses. La R-A permet de justifier la pertinence d'un dispositif communicant.
recherche-projet (R-P)
(1) Ancrage théorique préalable au démarrage de la création.
(2) Conception en aval de la recherche. "permet de planifier en aval le projet de conception qui mènera à l’artefact". "s’inscrit dans l’action de produire un changement, [...] prend place dans un contexte réel de la société, et surtout [est] « engagée » du fait de l’implication du·de la chercheur·euse (Findeli, 2004 ; Gagnon et al., 2021)." "selon Findeli (2004), le « projet » de design devient l’équivalent du « terrain » dans les sciences humaines et sociales ou celui du « laboratoire » dans la recherche expérimentale afin de collecter des données et de générer des résultats." D'abord compréhension d'un phénomène, puis ensuite proposition d'images ou autres qui répondent à des besoins réels (Gagnon et al., 2021). "Puise" dans les définitions de recherche existantes mais "sa position épistémologique et méthodologique reste encore à clarifier (Findeli, 2004)". Objective aussi de produire des connaissances "utiles à la fois aux chercheur∙euse∙s, aux praticien∙ne∙s et aux utilisateur∙rice∙s de l’artefact (Gagnon et al., 2021)". La R-P permet de "valider les conditions dans lesquelles [...] un dispositif communicant [serait] adapté".
recherche-création (R-C)
(1) L'artefact se développe "de façon concomitante à la recherche", sans forcément avoir d'ancrage théorique en amont de la création.
(2) S'est vue développée (au Québec) "lors de l’élaboration de programmes doctoraux en arts". La R-C partage les objectifs de la R-A mais s'inscrit davantage dans le milieu universitaire et en récupère ainsi les financements et la reconnaissance qui vont avec.
(3) La production de la R-C = la création + des concepts et connaissances qui émergent au cours de l'activité de création. "en R-C, l’intention de créer est plus explicite qu’en recherche-projet".
(4) La R-C permet de "faire travailler ensemble les partenaires non académiques [...] et les chercheur·euses" en validant la pertinence des dispositifs communicants produits.
La recherche en design graphique sous pression, Annick Lantenois
notes
Par qui ?
(Auteure)
Annick Lantenois (cc: éditions b42) est docteure en histoire de l’art depuis 1993. Elle a découvert le design graphique dans les années 1990 à l’occasion de son premier poste d’enseignante à l’École supérieure d’art de Cambrai. Elle a depuis orienté son travail vers l’histoire et la théorie du design graphique. Depuis janvier 2000, elle enseigne à l’École supérieure d’art et design Grenoble Valence.
De quoi ?
(Cœur du propos)
Ce texte évoque les contraintes et tensions que subit le domaine de la recherche en design graphique : Comment continuer à faire de la recherche libre, critique, inventive dans un contexte où tout pousse à la rentabilité, à la visibilité et à la conformité ?
-Idée que le design graphique doit aujourd’hui s’inscrire dans les normes (exigences) de la recherche universitaire --> Pourtant les écoles d’art mettent l’accent sur la création, l’expérimentation et la réflexion critique (spécificités importantes du design graphique), plus que sur la spécialisation académique.
>> Pression pour ce conformer à ce modèle <<
Il n'y a pas une seule manière de "faire de la recherche"
Pour qui ?
(Public visé)
Pourquoi ?
(Objectifs du texte)
Pour défendre l’idée que la recherche en design graphique peut être légitime sous ses propres conditions (expérimentales, visuelles). Donc ne devrait pas être absorbée par des logiques conventionnelles, institutionnelles et économiques
Pour encourager le travail aussi bien intellectuel que visuel : privilégier la lenteur, le doute, la complexité tout en maintenant un regard critique poussé
A.L. :"Dans les écoles, le design n’est pas assimilé à une discipline, même si, aujourd’hui, cette perspective ne soulève pas d’objections franches. Leur objectif, en effet, n’est pas tant de former des experts mais plutôt d’accompagner les étudiants dans l’invention de leur propre métier en leur offrant à la fois des savoir-faire et des approches analytiques et critiques."
Comment ?
(Démarche de l'auteure)
Aborde une approche autoréflexive depuis son expérience d'enseignante chercheuse (exemples issus du milieu du design graphique)
Avec quelles conséquences ?
(Problème/ solution)
Méconnaissance vers reconnaissance
Résistance interne, absence de statut, budgets insuffisants dans le milieu de l'enseignement --> Revendiquer des critères adaptés au design (valeur expérimentale, visuelle, collaborative)
Perte de sens critique --> Favoriser la réflexivité, la pluralité, l’interdisciplinarité
Standardisation --> Explorer des formats alternatifs
Institutionnalisation (Wikipédia) = Désigne le processus de placement de quelque chose dans une organisation, un système social ou une société dans son ensemble. ==> (Création du Centre national du graphisme –Le Signe–, le CNAP et sa plateforme “Graphisme en France”)
Disciplinarisation = Fait de définir les disciplines, les catégories de connaissances, où s'inscrivent des savoirs, des pratiques.
La recherche actuelle en design graphique, Alice Twemlow
notes
- La démarche de recherche
- Économie partagée de la recherche et conception élargie du public
- Quelle est la nature de la recherche en design graphique
- A qui parlons-nous ?
"Qu'est-ce que la recherche en design ?" de Stéphane Vial
- interroge la possibilité du design comme science et définit la recherche en design comme discipline scientifique.
Questionnement : En quel(s) sens le design peut-il être objet de science ? Qu’est-ce que
la recherche en design considérée comme discipline scientifique ? Quels
sont ses modèles ?
- La recherche design devient une discipline scientifique
- Le fait que tout soit interrogé et questionné dans le design amène à la vision du « design comme science »
- le design scientifique est une méthode qui doit résoudre des problèmes
- des départements en recherche de design sont crée
1- - deux tendances qui s’opposent : « approche comportementaliste du processus de design,
proche d’un certain machinisme inspiré de la cybernétique et de l’intelligence artificielle » et
« ceux qui ont une approche phénoménologique et existentielle, plus soucieuse de la complexité de la dimension humaine » - méthodologie qui commence à se construire dans la recherche design
- la pensée design s’oppose au « design comme science » mais garde l’idée que le design peut faire l’objet de recherche scientifique
- « design comme science » : comprendre la manière dont les designers pensent et travaillent
- opposition entre « science du design » et « design comme science »
- le design devient une discipline inter-disciplinaire
2- - émergence d’un champ de recherche en design hautement pluraliste
- développement surtout dans les pays anglo-saxons
"les méthodes de production des connaissances – le reportage, l’interview, la recherche d’archives, l’observation, l’écriture, la citation, la production d’arguments clairs, la présentation au public, sans parler des méthodes de recherche plus expérimentales (la cartographie, par exemple) –"
"Les designers graphiques occupent une position unique pour interpréter visuellement et clarifi er la recherche, la structurer et lui conférer une apparence séduisante."
Séance 2 Le designer comme chercheur, Notes discussion (Maxime + Lélio)
Annick Lantenois : Le vertige du funambule
1e Texte :
1ère partie : état des lieux de la recherche en design, historique du design comme un sujet de recherche
2ème partie : confrontation de 2 points de vue, nombreuses citations
Est ce que la recherche en design doit aboutir à un projet final // à un résultat/outil réutilisable ?
Réduire/schématiser le design à une matière universitaire =/= réalité du design plus complexe, moins linéaire
Pas possible de catégoriser/contraindre le design entre science (recherche) et art (expositions), le design est sa forme, son expression propre
critique sur le choix sur la "casquette" qu'on veut mettre : chercheur ou designer
2e Texte:
Recherche sur/avec/par/dans le design :
Le médium sur lequel on travaille/design, impacte l'étude et la recherche -> travail avec le design
Chercheur.euses anglophones en design graphique :
Steven Miller, Martha Scottford
En France : (j'en ai loupé 2), Anthony Masure, François Chastanet (cc lol)
Ruedi Baur, Emilie Rigaud.
Alice Savoie double casquettes chercheuse/typographe
Travail sur la pluralité de la recherche en design
recherche fondamentale : purement théorique
recherche appliqué : sur le terrain, par la pratique, la création, la production de design
-recherche action
-recherche projet
-recherche création
Pour A.Findelli : recherche appliquée est la plus efficace dans le domaine du design. La recherche fondamentale est plutôt pour les chercheur.euses.
Recherche action: Se fait sur le terrain pas uniquement observateur, on va tenter de résoudre un problème donné avec les personnes qui s'y trouve ça prend la forme de questionnaire/de workshop. Globalement toujours une résolution avec les personnes sur le lieu, les personnes concernées.
Recherche projet : résultat, point d'arrivée déjà clair et défini, vrai projet concret
Projet de signalétique par exemple, ou commande publique qui répond à un besoin
Dans le texte, il est dit qu'elle est un mélange entre les 2 recherches précédentes :
Comme la R-A : se développe sur le terrain, dans l'action pour observer et comprendre
Comme la R-C : développement d'un projet pouvant mener à la conception d’artefacts qui est un des objectifs de la recherche
"Learning from Las Vegas" une recherche d'observation mais avec une initiative personnelle
https://metropolitiques.eu/Learning-from-Las-Vegas-anatomie-d.html
Sur: étude théorique casquette du chercheur observateur
Pour : processus de réalisation, travailler avec l'utilisateur.ice pour améliorer le design (théorie et pratique jointes)
Par : le design est un moyen methodo pour faire de la recherche
le Par et le Pour est théoriquement facile de les dissocier mais dans la pratique souvent entremêlé
3e Texte :
Quand est ce que le designer est impliqué ?
--> Le designer doit intervenir le plus longtemps possible. Mais souvent il intervient à la fin pour vulgariser/mettre en forme rendre lisible les informations.
À quel moment on intègre les designeur.euses au projet ? Est ce que ça peut influer sur la recherche, sur le projet ?
Statut de recherche en design est dur à qualifié dans le registre universitaire car ce schéma est trop contraignant
Comment faire de la recherche créative quand le design est contraint par le schéma commercial ?
critique des deux premiers textes :
trop dichotomique universitaire d'un coté école d'art de l'autre
dans la façon dont les textes délivrent l'information.
4e Texte:
Pourquoi et comment faire de la recherche en design, dualité universitaire/praticien. Elle cite beaucoup d'exemple de petites maison d'édition spécialisé dans la recherche et propose des ouvrages plus abordable car le fond et la forme sont plus travaillé/plus facile à appréhender.
Notion de partage sur le fait que la recherche ce n'est pas qu'un seul résultat mais que ça se construit dans un échange avec les publiques concernés.
Synthèse, problématique générale :
Difficile de faire rentrer la recherche en design graphique dans les catégories utilisées pour les autres recherches.
Solutions/réflexions ???
-Pas besoin de solution forcément, les frictions et interactions entre recherche et design sont nécessaires, voire bénéfiques ?
-Les deux sont liés chercheur/designer et possibilité de trouver un moyen de faire de la recherche sans passer par la méthode académique
La théorie aide le.a designeur.euse à s'émanciper, à produire plus consciemment, à SAUVER le design ? Donne un SENS à notre travail
Une logique d'apport d'autres question ?