📃 Cloux mémoire.v.2
☆ MémÖire bientÖt ciaaÖ ☆
Pourquoi une v2 ?
Parce que c'est pas encore fini...
▁04/10/2025▁
🕐 Mémoire presque relu entièrement
🕑 Mémoire de A.d'Hubert "Faire local. Comment faire du graphisme ici ?" lu à moitié
🕒 Intro relu et un peu modifiée
🕓 constitution d'une iconographique
🕕 Revoir conclusion
🕖 Annexe ?
🕗 Correction fautes
☇
Plan ☺
Campagnard.e fabrique dans ton champ !
⤷ À quel point la cambrousse chamboule le métier de graphiste ? Dans quelle mesure elle interroge la pertinence d'être graphiste dans un milieu rural ? Si à priori tout le monde à la possibilité d'en faire sans mentionner le terme graphisme.
1 - Constater le graphisme dans son environnement.
1.1 - La ville en bref, avant de d'arriver à la campagne
1.2 - Des enjeux du design mis de côté. Introduction vers un design d'amateurices ?
1.3 - Premiers regards sur le design de bourgade et sa dimension inspirante.
2 - Paysages graphiques ruraux.
2.1 - Débrouille toi, fais ton graphisme !
2.2 - Le vernaculaire dans les mains de l'amateurice.
2.3 - Peins ta façade.
3 - Dialogues.
3.1 - Rencontre avec la BIM !
3.2 - Échanges avec Émilie Martin.
3.2 - Discussion avec Émilie Lordemus.
Annexes ou non ? (mon dilemme du moment) :
Dans l'intention d'écrire sur le graphisme rural, le terme "vernaculaire" fut l'un des premiers qui me soit venu, spontanément. Alexandre d'Hubert a eu cette même spontanéité pour son mémoire (disponible sur memo!) : Faire local. Comment faire du graphisme ici ? Pourquoi ? Dans son étude, les attributs "d'utilités" et de "fait maison" sont utilisés pour cibler une (des) définition du vernaculaire, en reprenant les propos de Clément Chéroux dans Vernaculaires : Essais d’histoire de la photographie :
Étymologiquement, le mot “vernaculaire” est dérivé du latin “verna” qui signifie “esclave”. Il circonscrit donc, tout d’abord, une zone de l’activité humaine liée à la servilité, ou tout du moins aux services. Le vernaculaire sert : il est utile. (...) Par extension, le mot recouvre donc tout ce qui est confectionné, élevé, ou cultivé à la maison. (...) Dans le système capitaliste, le vernaculaire est l’envers de la marchandise industrielle. Il échappe par conséquent à la domination du marché. Cette dimension économique de la notion est absolument essentielle pour la comprendre. Reprenant l’analyse d’Ivan Illich sur le “genre vernaculaire”, Pierre Frey propose d’inclure dans cette catégorie “toutes les démarches qui tendent à agencer de manière optimale les ressources et les matériaux disponibles en abondance, gratuitement ou à bas prix, y compris la plus importante d’entre elles : la force de travail. Est vernaculaire, en somme, tout ce qui demeure périphérique ou extérieur aux flux mondiaux du capital et tout ce qui, de gré ou de force, se dérobe à son contrôle (...)
Après cette citation, A. d'Hubert commente :
Le vernaculaire est donc tout ce qui appartient à l’ordre du « fait maison », de l’amateur, hors de l’économie de marché. (...)